Marc et Marie en balade ...

Marc et Marie, tous deux fans de la nature, avaient décidés d'aller se promener près des falaises. Jusqu'à présent, la journée avait été magnifique. Aucun nuage n'avait pointé son nez et la température restait constante. A présent, il devait être environ quatres heures de l'après midi et les deux amis (ou plus ?!?) étaient à présent en bas des falaises de roche. Tous deux habillés pour, ils commencèrent alors leur montée par le petit sentier en terre sèche. Ils étaient bien déterminés à atteindre le sommet des falaises qui était, il faut l'avouer, à la même hauteur qu'un immeuble à appartements de quarante-cinq étages au moins. Mais Marc et Marie étaient déterminés : ils y arriveraient !

- Ca va toujours Marie ? Tu veux boire un peu ?

Marie était tous sourire.
Elle adorait se promener dans les falaises. Et celle ci était particulièrement magnifique. Et puis elle n'osait se l'avouer à elle même elle était avec Marc peut être que cette balade renforcerait encore leur amitié

Ca va ?
On peut monter jusqu'en haut ?

- Oui, bien sûr !

Marc sourit alors à Marie. Ils continuèrent donc leur progression vers le sommet des falaises. Vers le point le plus haut. Marc se retourna vers Marie et il vit alors qu'elle n'était, jusqu'à présent, absolument pas essouflée. Elle paraissait même comblée. Elle souriait et ses yeux brillaient. Durant leur montée et sans même que celui-ci ne s'aperçoive de ce qu'il faisait, il lui prit la main. Oui, cette balade renforcerait leur amitié. Marc tourna la tête vers Marie et lui sourit. A présent, ils avaient dépassé la moitié du trajet. Ils allaient plutôt vite ..

Le paysage était magnifique.
Elle sourit lorsqu'il lui prit la main.
Ils arrivèrent sur un plateau ils avaient déjà fait un bout de chemin mais Marie n'était pas fatigué. Tout était si beau autour d'elle elle avait l'impression d'être dans un compte de fée

- On peut s'arrêter j'aimerai prendre une photo ?

- Oui, bien sûr

Marc stoppa également et il sortit, lui aussi son appareil photo numérique. Il laissa Marie prendre une photo puis, il lui demanda si elle pouvait venir près de lui, afin qu'il fasse une photo d'eux deux sur le plateau. Le retardateur fit bien son boulot et la photo était très réussi. Il la montra à Marie puis remit son appareil dans son sac et sortit sa gourde. Il but une gorgée d'eau puis proposa sa gourde à Marie.

- Tu as soif ?

elle regarda avec attention la photo que Marc avait pris d'eux deux avant de ranger son propre appareil dans son sac

- Elle est magnifique.

Et sourit lorsqu'il lui proposa de l'eau

- Je veux bien oui

Elle prit la gourde que lui tendait Marc et but une gorgée.

Une fois que Marie finit de boire, Marc récupèra la gourde et la remit sans son sac. Il repris la main de Marie dans la sienne et ils continuèrent ainsi leur route. A présent, ils devaient être à dix minutes du sommet. Marc tourna la tête vers Marie et lui sourit.

- Ca va toujours, Marie ?

Elle avait le regard pétillant et les joues roses. Cela lui allait plutôt bien. Son bronzage était tout à fait naturel et pas trop foncé. Il trouvait cela plutôt bien. Car Marc n'aimait pas tellement le genre de fille qui ne pensait qu'à son allure physique sans se préoccuper du reste.

Marie souriait elle se sentait bien.

- Pas de problème.
J'aime bien marcher.
Il y a d'autres lieu comme ça dans le coin.

- D'accord

Marc sourit à Marie qui, visiblement aimait cette balade dans les falaises.

- Oui, il y en a quelques-uns ...

Marc continua de marcher, la main de Marie toujours dans la sienne. A vrai dire, il avait été surpris de voir que Marie ne la retirait pas ou encore, ne lui foutait pas de claque. Mais Marc n'avait pas de mauvaises intentions. Il lui tenait seulement la main. Et puis, Marc n'avait jamais aimé l'idée que les couples aillent trop vite. Lorsqu'il était plus jeune, une de ces amies (attention, il n'est jamais sorti avec elle ) devait sortir avec un garçon. Après deux heures ensemble durant leur premier rendez-vous, désirait déjà bien plus qu'elle n'aurait donné. Marc ne supportait pas ce genre de choses. D'ailleurs, il supportait encore moins que les hommes prennent des femmes pour des objets.

Marie gardait le silence.
La pente montait pas mal et elle dévorait des yeux les paysages grandioses.
Il leur restait à peine quelques mètres pour atteindre le sommet.

- On y est presque

Elle sourit à Marc

Marc apprécia beaucoup le sourire de Marie. Il était sincère. Il y avait une émotion. Surement à la vue du paysage magnifique que l'on voyait de cette hauteur. De plus, le soleil commençait à se coucher. On aperçevait alors les tons roses-orangés qui s'éparpillaient dans le ciel. Et tout cela qui se reflétait sur la mer. C'était une vue magnifique. Vraiment. Marc sourit à Marie.

- Oui, on y est presque.

Les voicis dans le tournant. Enfin sortis de celui-là, ils arrivèrent tout en haut des falaises. Sur le point culminant. La vue était imprenable. Vraiment magnifiques. Les deux compagnons, émerveillés s'assirent alors sur un gros rocher, l'un à côté de l'autre. Ils ne cessaient de regarder le paysage.

- J'avoue que c'est particulièrement magnifique ce soir ... En général, je ne viens pas à cette heure-ci. Et tu es la première personne que j'emmène ici. En dehors de Vanessa pour des randonnées en début d'après-midi.

Et voilà, je parle trop ! xD

Il se retourna vers Marie qui, visiblement, absorbait réellement le paysage pour s'en faire des souvenirs.

A vrai dire, la vue ressemblait à ceci :

Marie écoutait à peine Marc telemment le paysage étais beau
Marie sortit son appareil photo de son sac et prit plusieurs fois le paysage sous tous les angles.

- C'est magnifique.
Merci de m'avoir emmener ici

Elle souriait à Marc. comme elle n'avait jamais souri. Ses yeux brillait

Marc fut surpris de la profondeur du regard de Marie. Elle était réellement contente que celui-ci l'ai ammené à cet endroit si merveilleux. Il sortit également son appareil photo et prit une photo de Marie, sans qu'elle ne s'en aperçoive. Il fit également des photos du paysage qui s'offrait à lui. Puis il proposa à Marie de s'approcher un peu plus du bord, chose qu'ils firent. Il reprit la main de Marie dans la sienne. C'était presque devenu un réflexe lorsqu'il se retrouvait seul avec elle.

- De rien ...

A présent, le soleil avait disparu. Il faisait déjà noir, ou presque. Marc, prévenant, avait emporté une grosse lampe torche avec. Il se tourna vers Marie et lui dit alors :

- On rentre ? Le paysage sera encore là les autres jours mais etant donné qu'il commence à faire noir, la descente peut se faire dangeureuse.

Marc connaissait les principes de sécurités lorsque l'on partait marcher dans les falaises du Sud de la France. Il attendit la réponse de Marie, bien décidé à ne pas l'abandonner là.

- Oui
Ce serait peut être bête de se perdre.
Bien que tu sois prévoyant

Elle désigna la grosse ampe torche de Marc un sourire au lèvre.
Et il commencèrent à descendre Marc éclairant leur route

- Oui c'est vrai ... Mais si maintenant on tombe sur un chacal, je sais pas trop ce qu'on fera ...

Voyant la tête de Marie, il ajouta :

- C'était pour rire

Et ils rigolèrent ainsi tous les deux. Une fois arrivés au plateau où ils s'étaient arrêtés auparavant, ils firent une petite pose pour que Marc puisse mettre une autre pile dans la lampe torche. Car, bien que prévoyant, Marc ne pensait pas toujours à vérifier si la pile qui était dedans était encore bonne ou non. Puis, ils reprirent leur chemin.

Marie regarda autour d'elle elle ne reconnaissait pas le paysage

- T'es sure que c'est par la qu'on est monté ?
Je sais qui fait noire mais ce me dit rien du tout

Elle regardait Marc un peu paniqué.

- Oui, t'inquiète pas

Marc dirigea la lampe torche devant eux. Tout d'abord, il ne reconnut pas le lieu où ils se trouvait et il crut que Marie avait raison. Mais lorsqu'il aperçu un arbre où un poisson avait été gravé dans l'écorce, Marc se rassura. C'était lui qui avait dessiné ce poisson, une fois qu'il avait fugué de chez lui car il s'était disputé avec leur parents. Pour s'occuper, il avait commencé à le graver, en n'oubliant pas son nom dedans. Il dit alors à Marie :

- Regarde l'arbre en face. Sur l'écorce de l'autre côté de l'arbre, il y a un petit poisson de dessiné. C'est moi qui l'ai fait lorsque je n'avais que dix ans.

Il sourit à Marie.

- J'ai eu peur
Heuresemment que tu as l'idée de graver des trucs sur les arbres.

Ils continuèrent de descendre.
Plus que quelques mètres est on est arrivée

Après encore dix minutes de marche, Marie et Marc arrivèrent près du camping. Il leur faudrait encore cinq petites minutes avant que Marie ne soit à son chalet.

- Je te raccompagne jusqu'à ton chalet ? J'ai une garde à faire à l'accueil après.

Marc tenait encore la lampe torche. Ils en avaient encore besoin à l'entrée du camping. Plus loin, les petits chemins étaient illuminés par des petits spots noirs à hauteur du sol.

Le camping était faiblemment éclairé est Marc devait encore laisser allumer sa lampe torche

- Je veux bien
Jusqu'à quelle heure tu dois travailler ?

Elle lui sourit


Hj et oui c'est une habitude

Marc, continuant d'éclairer leur chemin regarda sa montre puis dit :

- Je reprend mon service dans vingt minutes et je finis vers minuit et demi ou peut-être une heure du matin.

Marc sourit à Marie. Actuellement, il était environ vingt heures seulement. Il allait devoir classer des dossiers, effectuer du rangement alors que Marie pourrait se prélasser dans son lit ou encore regarder un film à la télévision.

Ils étaient arrivé devant le chalet
Marie lui souria avant de lui demander

- On pourrait aller se balader ailleurs demain.
A la plage si ça te dit

- Oui pas de problèmes A demain alors

Marc lui sourit puis, attendit qu'elle rentre dans le chalet pour partir. Il descendit le petit escalier et reprit le chemin vers l'accueil, où il devait prendre son service quelques minutes plus tard. Il activa un peu le pas, sa lampe torche toujours allumée éclairant le chemin qu'il devait prendre.
Mais, ayant encore le temps, il passa par le Mobile-Home qu'il occupait avec son père pour aller chercher son gilet en polard. Car les journées étaient chaudes mais les nuits fraîches ...